D’une langue qui déborde, Marc Alexandre Oho Bambe offre son geste d’écrire en partage, nous invitant à la source du poème au long cours qui irrigue sa vie.
« Diên Biên Phù, joli nom pour un naufrage… ». Nous sommes bien à Diên Biên Phù. Le temps d’un chant d’amour, fou. Fragment d’éternité. Sur fond de guerre.